lundi 28 décembre 2009

festins de noël ou le rêve pantagruélique

Noël. La fête des enfants. Et celle des adultes qui se retrouvent pour passer leurs journées attablés à manger plus que faim et à boire du bon vin, à encenser cette bouffetance (si si, ce mot existe) comme s'il s'agissait du nectar des dieux de l'Olympe. Et je dois bien reconnaître qu'à Noël, on mange bon et bien, et surtout beaucoup (trop ?)... Cette pitance, plus que nécessaire, est venue sur ma table le 24 au soir, veille de Noël, et ne l'a quittée que le 27, jour où j'ai recommencer à prendre un régime alimentaire normal. Quoi que le mot régime ne soit pas vraiment adapter pour qualifier ces 2 derniers jours de mangeaille. Disons plutôt que nous amenons délicatement nos estomacs vers le régime. Le vrai. Un passage tout en douceur depuis les excès pantagruéliques jusqu'au bouillon du soir. En attendant le prochain repas gargantuesque et autres douceurs isolées puisque l'Épiphanie est bientôt là (et que j'ai décider d'essayer de faire une galette des rois à la frangipane moi-même)...

Après tout, tout ce que est trop bon est toujours trop gras, trop sucré, voire trop salé...


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